Introduction au métabolisme
Toute cellule est le siège de milliers de réactions chimiques qui mettent en jeu des transferts de matière et/ou d'énergie.
Cet ensemble de réactions biochimiques s'appelle le métabolisme.
Les réactions forment un réseau de voies métaboliques le long desquelles les molécules, que l'on appelle des métabolites, sont transformées.

Détermination des besoins alimentaires des végétaux

A Méthode de détermination.

1 Méthode analytique : analyse élémentaire.

Cette analyse donne des renseignements sur la composition globale des éléments absorbés par une plante, ce qui ne signifie pas que cet élément soit important ou indispensable. Certains éléments du sol seront absorbés passivement par la plante. Cette méthode doit être accompagnée par une méthode d’étude synthétique.

Croissance

Le développement (en physiologie végétale) étudie toutes les modifications qualitatives et quantitatives chez une plante (de la fécondation à la mort).
Les modifications quantitatives représente la croissance (les modifications irréversibles se produisant au cours du temps). On a, par exemple, l’augmentation de taille, de volume, de masse.
On parle de différenciation quand la part prise par les modifications qualitatives vont prédominer : c’est l’acquisition de propriétés morphologiques et fonctionnelles.

Homéostasie et Régulation Calcique


INotions d’homéostasie

L’homéostasie est la faculté que possède un organisme de maintenir les équilibres de son milieu intérieur de façon stable et indépendante des fluctuations du milieu extérieur.
Détecter les changements intérieurs ou extérieurs, par le versant sensoriel (ou afférent) permet l’acquisition des informations. L’intégration de ces informations (par le système nerveux central) se fait sur plusieurs niveaux : niveau réflexe (moelle épinière) / niveau supérieur (système nerveux supraspinal).
Déclencher les réponses adaptées : c’est le rôle du versant moteur .

Le système nerveux autonome, Système neurovégétatif et système viscéral

Le système nerveux autonome contrôle les fonctions organiques internes (nutrition et maintien de l’homéostasie). C’est un système qui échappe le plus souvent au contrôle de la volonté. Il s’oppose au système somatique (relations avec l’extérieur).

La Digestion

I Introduction.

Les cellules de l’organisme ont besoin de nutriments : glucides, lipides, protéines, vitamines, sels minéraux et eau ; ces nutriments existent dans nos aliments, mais sous une forme complexe, incapables de traverser les membranes cellulaires.
La digestion a donc pour rôle de simplifier le bol alimentaire, l’amenant progressivement vers des formes physiques et chimiques, compatibles avec leur absorption digestive et leur transfert dans le système de distribution cellulaire : le sang et la lymphe. Ce rôle est assuré par le tube digestif dont le fonctionnement peut se résumer par.

La Circulation

I Introduction.

La circulation sert au maintien de l’homéostasie. C’est le sang, phase circulante du milieu interne, qui va en déterminer le réglage.
La circulation a un rôle dans :
  • La nutrition (distribution des nutriments),
  • le transport des gaz respiratoires (O2 et CO2),
  • l’élimination des déchets,
  • le transport des informations (hormones),
  • l’équilibrage de la température,
  • la défense de l’organisme.

La Respiration

I Introduction.

Le but de la respiration est d’amener l’oxygène à toutes les cellules de l’organisme en fonction de leurs besoins et de prendre en charge le CO2 rejeté.
L’oxygène sert au processus d’oxydation au niveau des mitochondries.

Les échanges gazeux


I Propriété fondamentale des gaz.

A Pression atmosphérique.

La pression atmosphérique correspond à la pression au niveau de la mer.
760 mm Hg → 1013 hPa. Cette pression diminue avec une augmentation d’altitude.

L’excrétion

I Introduction.

Les reins font parti du système excréteur. Leur rôle est le maintien de l’homéostasie par régulation du volume et de la composition du milieu intérieur : contrôle de l’équilibre hydrominéral et acido-basique.
Les reins assurent l’épuration du sang en éliminant les déchets métaboliques qui seront excrétés par le système urinaire.
Les reins produisent la rénine et l’érythropoïétine. Elles stimulent la formation des hématies.

Atlas floristique du Maine-et-Loire


Le Conservatoire botanique national de Brest conduit un programme d’inventaire permanent de la flore du Massif armoricain et de ses marges (qui englobe les régions de Bretagne, Basse-Normandie et Pays de la Loire – à l’exception de la Sarthe) avec le double objectif d’acquérir uneconnaissance de la répartition générale de l’ensemble de la flore(démarche atlas) et de repérer le plus systématiquement et le plus précisément possible les stations des plantes patrimonialescorrespondant à la fraction rare ou menacée de la flore. 

Histoire


  • Le programme a été lancé en 1982 par la Direction de la protection de la nature (devenue Direction de la nature et des paysages) du ministère de l'environnement, avec l'appui du Muséum national d'histoire naturelle ; Son objectif était de produire un inventaire, pour tout le territoire national, des zones de plus grand intérêt écologique« essentiellement dans la perspective de fournir au ministère un outil d’aide à la décision »2.

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Une zone naturelle d’intérêt écologiquefaunistique et floristique, abrégée par le sigle ZNIEFF, est un type d'espace naturel labelisé de France.
L'inventaire des ZNIEFF est un programme d'inventaire naturaliste et scientifique lancé en 1982 par le ministèreBouchardeau chargé de l’environnement et confirmé par la loi du 12 juillet 1983 dite Loi Bouchardeau1.

Conservation


Malgré sa situation préoccupante, la Province floristique de Californie bénéficie d'infrastructures et d'une gestion de qualité. Les USA restent un pays peu corrompu (24ème sur 183 pays selon Transparency International en 201114) avec une rigoureuse supervision administrative et un réseaux d'espaces naturels protégés généralement bien entretenus. De ce fait on retrouve presque 110 000 km² 

Menaces

Les menaces à l'encontre de ce hotspot sont nombreuses. En effet la Californie - qui représente la quasi-totalité de cette province - possède l'une des économies les plus prospères du monde. Avec, en 2010, plus de 35 millions d'habitants pour un PIB d'environ 1900 milliards de dollars8, cet État est à la fois le plus peuplé et le plus riche des USA. Seul il serait la 8ème puissance économique mondiale, devançant des nations comme le Canada ou la Russie9


Biodiversité

Comme les quatre autres régions méditerranéennes (Bassin méditerranéenAfrique du SudChili et Australie) cette région possède une concentration extrême d'espèces végétales avec un endémisme très élevé. On dénombre 18 743 espèces végétales cataloguées aux États-Unis, près d'un cinquième sont présentes dans cette zone3, soit 3488 espèces de plantes vasculaires dont 2124 ne sont présentes nulle part ailleurs soit un endémisme de 61 %.

Biodiversité

Comme les quatre autres régions méditerranéennes (Bassin méditerranéenAfrique du SudChili et Australie) cette région possède une concentration extrême d'espèces végétales avec un endémisme très élevé. On dénombre 18 743 espèces végétales cataloguées aux États-Unis, près d'un cinquième sont présentes dans cette zone3, soit 3488 espèces de plantes vasculaires dont 2124 ne sont présentes nulle part ailleurs soit un endémisme de 61 %.

Province floristique de Californie

Ce hotspot s'étend sur une superficie de 293 804 km² le long de la côte pacifique des États-Unis et duMexique et comprend le sud-ouest de l'Oregon, une grande partie de la Californie (70 % de l'État - excepté l'extrême nord-est et le sud-est) et l'extrême-nord de la Basse Californie (Mexique)1.